Un don permanent pour une bénédiction permanente : Vaad harabanim Un don permanent pour une bénédiction permanente

Un don permanent pour une bénédiction permanente

9/22/5775 11.05.2015

Comment assurer au maximum l’avenir et l’éducation de nos enfants ? Ce souci quotidien, vécu par chacun d’entre nous par toutes les fibres de notre être, est une priorité absolue. Voici les recommandations de nos Sages pour réussir, dans le sillage des enseignements du Chla et de Rav Haïm Kanievsky.

 

 

Au moment de l’allumage de chabbath, toutes les mamans se concentrent afin d’adresser leurs demandes, en particulier concernant leurs enfants. Nos Sages expliquent d’ailleurs que c’est un moment propice pour ces prières, et certaines ont l’habitude d’allumer une bougie pour chaque enfant.

Lorsque le père d’un enfant qui venait de naître demanda au ‘Hazon Ich à quel moment il fallait commencer à prier pour lui, le Rav répondit qu’après la naissance, il était déjà tard et qu’il fallait commencer dès le début de la grossesse ! En fait, il voulait dire qu’il fallait prier sans cesse, pour tous les aspects de la réussite des enfants. 

Le Hafets Haïm suivit le chemin qu’avait tracé le Chla Hakadoch en préconisant qu’il fallait donner régulièrement de la tsedaka. En aidant les autres, on acquiert le mérite d’avoir des enfants tsadikim. L’essentiel de la mitsva est d’être permanente, de la « poursuivre » et de s’habituer à la faire sans discontinuer. Ainsi, grâce à une prière fervente et à la tsedaka permanente, nous augmentons nos chances de réussite.

 

 

«  Un véritable associé »

 

 

Rav Haïm Kanievsky nous donne son secret pour la réussite de l’éducation. Tout en conduisant l’ensemble des enfants d’Israël, il est à même de nous guider afin de former les générations futures. Et c’est grâce à son appel durant Pessa’h que nous avons une idée claire de l’effort à fournir. Voici la lettre qu’il a adressée au public :

« Le Vaad Harabanim le iniané tsedaka beerets hakodech, fondé par mon beau-père Rav Elyachiv zatsal, agit depuis de nombreuses années et accomplit un travail immense pour les pauvres et les nécessiteux, pour des milliers de familles. Grâce à son soutien continuel, celui qui s’engagera à faire un virement permanent deviendra un véritable associé et méritera une abondance de bénédictions, de réussite et d’aide divine dans tout ce qu’il entreprend. »

En s’associant à l’œuvre du Vaad Harabanim, nous sommes certains de recevoir la bénédiction apportée par la tsedaka. C’est pour cela que Rav Haïm encourage chacun d’entre nous à nous associer au combat quotidien de l’Association pour les pauvres et les déshérités. Et pas seulement en donnant de façon ponctuelle mais en nous engageant à un virement permanent. La formule est simple : un don permanent pour une bénédiction permanente, ce dont ont besoin nos enfants.

 

Pour mériter cette bénédiction permanente, cliquez-ici.

 

Une maison en feu

 

Un terrible incendie a laissé la famille N. sans domicile. Tous leurs biens ont disparu dans ce sinistre, et c’est grâce à vous, par l’intermédiaire du Vaad, que la famille N. et leurs cinq enfants ont pu retrouver un appartement.

 

Moché et Sara vivaient heureux avec leurs cinq enfants âgés de deux à dix ans dans leur appartement jusqu’au jour fatidique où un incendie détruisit tous leurs biens. Par chance, ils ne se trouvaient pas sur les lieux lors de l’incendie et ne furent pas blessés mais du jour au lendemain, ils se retrouvèrent totalement démunis, avec pour seul bien les vêtements qu’ils portaient ce jour-là. Difficile d’imaginer le sentiment alors ressenti par tous les membres de la famille… Les voisins contactèrent le Vaad Harabanim qui constitua une cellule de crise. En peu de temps, les délégués de l’Association allouèrent une aide financière avant de parer au plus pressé : un appartement pour dormir, de nouveaux meubles et vêtements. Ce fut plusieurs mois difficiles mais qui permirent aux N. de remonter la pente, sans quoi la catastrophe aurait été encore plus grave. Les enfants purent jouir d’une certaine sécurité pendant que les parents travaillaient dur pour tout remettre en état. Tout cela est possible grâce à vous, et à l’aide permanente que vous offrez aux personnes en difficulté.

 

Aidez-nous, aidez-les.