Des milliers d’enfants sont confrontés trop tôt à la maladie, au deuil, à la pauvreté extrême. Le Vaad Harabanim est leur seul espoir. À l’approche de Chavouot, offrons-leur plus qu’un don : offrons-leur une chance. Et apportons à nos propres familles la meilleure des protections : lorsque nous soutenons les enfants du Créateur, Il comble les nôtres de bénédictions.
Ce n’est pas un hasard si les grands Rabbanim de notre génération consacrent tant de temps aux donateurs du Vaad Harabanim.Ce n’est pas un hasard si cette Tsedakaa tant d’effet dans le Ciel.Parce que la générosité et l’empathie sauvent littéralement des vies.Chaque don, donné avec amour, va aux enfants souffrants du Créateur. Il leur apporte espoir, lumière et une chance de sortir du long tunnel de la misère.Nous donnons généreusement aux enfants d’Israël et le Créateur du monde donne en retour, avec abondance, à nos propres enfants…
« Attendez, attendez ! » Sarah court après les secouristes. Elle les rattrape dans la cage d’escalier, alors qu’ils peinent à manœuvrer le brancard. « Mon père a une tumeur bénigne à l’estomac, » halète-t-elle. « Il prend des médicaments… » Elle récite en rafale une liste interminable de noms complexes.
« Peut-être que je devrais écrire tout ça ? » propose-t-elle.
« Mieux vaut que tu viennes avec nous» lui répond l’ambulancier.
Sarah regarde sa mère. Celle-ci lui lance un regard suppliant. Sarah n’a que dix-sept ans, mais l’état de santé de sa mère est lui aussi préoccupant… Alors Sarah prend les rênes.C’est elle qui a appelé l’ambulance quand son père s’est plaint de fortes douleurs à la poitrine. C’est elle qui l’accompagne dans le vacarme des sirènes, qui informe l’équipe médicale des traitements et des opérations passées.À l’hôpital, le médecin la presse :« Il fait une crise cardiaque ! Il doit passer en urgence au bloc ! Où est votre mère ? Vous n’avez pas le droit de signer les papiers ! » Sarah sent son cœur se serrer.Autour d’elle, c’est l’agitation. Elle appelle sa mère, paniquée : « Ils emmènent papa en salle d’opération. Tu dois venir, maman. Il faut que tu signes les autorisations. »« Mais comment ? » panique sa mère. « Comment veux-tu que je vienne à Tel Hachomer maintenant ? Je suis trop faible ! » « Peut-être prends un taxi… » ose Sarah, sachant que c’est inenvisageable financièrement.
Combien de chocs une seule famille peut-elle supporter sans faillir ?
Une mère malade, plusieurs fois opérée. Un père atteint d’une tumeur, victime d’une crise cardiaque… Sarah et ses frères vivent dans une peur constante, avec l’angoisse du lendemain.Il est près de minuit. Les amies de Sarah dorment paisiblement. Elle, seule auprès de son père, est stressée, affamée, épuisée. Elle n’a même pas de quoi s’acheter quelque chose à manger.
Des milliers d’enfants comme Sarah attendent une réponse. Nous ne pouvons pas guérir leurs parents.Mais nous pouvons leur montrer qu’ils ne sont pas seuls.Grâce à un simple don au VaadHarabanim, ils auront de quoi manger, se soigner, se déplacer, s’habiller.Grâce à nous, les enfants de familles brisées pourront s’épanouir et retrouver une sécurité indispensable.
Vivre ou sombrer
Peut-on imaginer ce que traversent les familles soutenues par le Vaad Harabanim ? Que nous puissions toujours être du côté de ceux qui donnent !
Le foyer de la famille H. est digne, mais ravagé par les difficultés financières. Le père, Avi, est courageux, mais les épreuves l’empêchent de subvenir aux besoins de sa famille. Avi vit au jour le jour et ne peut se permettre aucun extra. En été, pas d’argent pour faire tourner le ventilateur le Chabbat, pas de vacances, pas d’excursion. Les enfants fuient la maison étouffante, préférant la rue à une ambiance oppressante, même si cela signifie encourir le risque de mauvaises fréquentations.
D’autres cas ne laissent pas indifférent et nous parlent de la misère quotidienne : un adolescent doit acheter un médicament de quelques dizaines de chékels pour soigner une infection mais ne dispose pas de cette somme dérisoire. Un petit garçon ajuste sans cesse ses lunettes cassées pour lire au tableau.
Pour toutes ces familles et bien d’autres encore, qui vivent des drames et des difficultés insurmontables, une aide indispensable est octroyée avant les fêtes. PourChavouot, uncolis contenantles produits de première nécessité estdistribué. « Nous pourrons dresser une belle table et avoir des repas dignes de la fête ! » pense Rachel, la fille aînée de la famille A., en découvrant le panier alimentaire et les bons d’achat.
L’importance de chaquedon est incommensurable, capable d’accomplir des miracles. Chaque euro récolté peut faire la différence entre espoir et désespoir, entre vivre ou s’effondrer.
Nous donnons et grâce à cela, nous sauvons des milliers de foyers en Israël.
Et, mida kenegued mida – notre foyer reçoit en retour abondance et bénédictions.
Sarah et ses frères ont un père et une mère. Malades, mais vivants.
Rachel aussi a des parents. Fragiles, en situation de grande précarité – mais présents.
Qu’en est-il des enfants orphelins ?
‘Hava est veuve. Lorsqu’elle a fini les sept jours de deuil, elle s’est retrouvée seule avec six enfants éplorés autour d’elle, dont un fils lourdement handicapé. Avant le drame, ils formaient une famille normale. Un peu plus de difficultés que la moyenne, mais ils tenaient bon.Et puis un soir, le père s’est écroulé au milieu du salon.‘Hava, qui s’occupait de son fils le plus jeune, a découvert son mari inerte.Deux ans ont passé. ‘Hava n’arrive pas à redonner de la stabilité à son foyer.Les enfants souffrent. Chacun réagit à sa manière à ce drame.
Autour d’elle, des proches essaient d’aider.Mais une vraie prise en charge, un réel soutien psychologique pour ses six enfants ? Cela coûte une fortune.Et quand on n’a même pas de quoi vivre, comment payer pour guérir l’âme ?
Combien de fois le mot « manque » revient-il dans les lettres adressées au Vaad Harabanim ?Combien de familles cumulent maladie, deuil et pauvreté écrasante ?
Votre don soutient des milliers de familles dans les situations les plus dures.
Votre don soutient des dizaines de milliers d’enfants, chacun avec une histoire bouleversante.Grâce à vous – avec l’aide de D.ieu – leur avenir pourra être meilleur. Imaginez ces enfants. Petits et grands. Orphelins et enfants malades. Imaginez-les comme s’ils étaient les vôtres.Puis imaginez le bien que votre don, même minime, peut leur apporter, quelle libération votre geste de solidarité estcapable d’offrir. Et surtout n’oubliez pas : quand nous donnons aux enfants du Créateur – le Créateur donne en retour à nos enfants, au centuple.