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La Segoula de Rav Haïm Palaggi : ensemble, pour des enfants par milliers

9/24/5785 22.05.2025

À l’approche de Chavouot, nous savons que la générosité sera notre victoire sur la fatalité. Grâce aux dons au Vaad Harabanim, tous ceux qui sont en attente d’un enfant pourront soutenir les Talmidé ‘Ha’hamim, en participant à une Segoula transmise de génération en génération.

Ils ne revendiquent rien.
Ils ne se battent pas pour leurs droits.
Ils ne s’immiscent pas dans les débats de société.
Rien ne les détourne de leur mission : ils étudient.

Avec des yeux brillants, ils entonnent une mélodie qui touche l’âme. Animés par une passion vibrante pour chaque mot de Rachi, chaque commentaire de Tossafot, ils se penchent sur la page de Guemara comme s’il n’y avait rien d’autre au monde.Et pour beaucoup d’entre eux, c’est la vérité : c’est leur bien le plus précieux.Quand Rabbi ‘Haïm Palaggi parlait de donner à un « Talmid ‘Ha’ham pauvre et humble », il pensait à eux.À ces centaines de familles entièrement tournées vers la Thora, vivant dans la précarité, soutenues discrètement par le Vaad Harabanim.

Voici venir Chavouot

Le moment du don de la Thora est aussi celui de soutenir ceux qui l’honorent de jour comme de nuit. Rabbi ‘Haïm Palaggi, Zatsal, écrivait : « La veille de Chavouot, donnez 91 pièces – soit 104 shekels, équivalent de deux fois le Nom de D.ieu בן – à un Talmid ‘Ha’ham pauvre et humble. Cette Segoula est puissante pour les couples sans enfants, et elle accélère la Délivrance. »

C’est une promesse et c’est une espérance, pour les couples qui attendent encore d’être appelés « papa et maman », qui n’ont pas encore de landau et ne courent pas après leurs enfants dans les rayons des supermarchés. Pour ceux qui regardent les enfants des autres… avec des larmes brûlantes dans les yeux. Pour celles qui détournent les leurs des petits vêtements d’enfants qui sèchent à la fenêtre d’en face. Pour l’homme qui sort seul à la synagogue et pour la femme qui verse des larmes en attendant de tenir un nourrisson dans ses bras.

Ce chagrin est un abîme, un désir qui consume, sans répit.
Et au milieu de cette douleur, une lueur : la Thora, La prière et la Tsedaka.

C’est pourquoi, la veille de Chavouot, les envoyés du Vaad Harabanim prient de tout leur cœur afin que ces hommes et ces femmes connaissent un jour ce bonheur indicible. Grâce à la Segoula de Rav Haïm et à ces prières, des dizaines de couples ont connu une délivrance et chaque année, la liste s’allonge.Les délégués du Vaad citent chaque nom et apportent sur l’autel de la fertilité les noms et les dons. Ils les distribuent à des Talmidei ‘Ha’hamim humbles et discrets qui prient, supplient, frappent aux Portes du Ciel.

La délivrance arrive

Des bébés naissent. Des photos affluent au bureau du Vaad avec des mots simples, bouleversants : « Merci. Nous aussi, nous avons eu un bébé. »Et soudain, le foyer s’emplit de vie, de tétines, de couches à changer… et de bonheur sans fin.

Cette année encore, le Vaad Harabanim se mobilise durant quarante jours, sans relâche, afin de prier pour chaque nom, pour chaque espoir.
Et grâce à vous, le miracle se reproduira.

Participez à la Segoula et soyez aux côtés du Vaad Harabanim pour cette prière si pleine de sens, pour la Thora et la descendance.

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