ÀPourim, oncourt dans tous les sens, on boit jusqu’à ne plus savoir où on en est, et bien sûr, on accomplit lesMitsvot du jour. Pour être parfait dans ce challenge, il faut duHidour, cet « embellisement » qui permet aux Matanot Laevionim, le don aux nécessiteux, d’être les plus parfaits possibles. Voici comment être porté aux sommetsgrâce au Vaad Harabanim.
Si vous pensiez que donner de l’argent à une personne dans le besoin était une affaire simple, détrompez-vous ! Quand, à qui et dans quelles conditions ? Le Vaad Harabanim rend cette Mitsva parfaite pour perpétuer la grande aventure de la solidarité juive et l’un des commandements du jour, la Tsedaka.
Jour J : Le timing parfait pour le don
Alors, vous pensiez qu’il suffisait de glisser une pièce de monnaie dans la main d’un nécessiteux le jour de Pourim et de le féliciter pour sa chance d’avoir croisé votre chemin généreux ? Faux ! Nos Sages recommandent un timing irréprochable. Le Vaad Harabanim, fidèle à sa mission, ne collecte pas seulementl’argent, mais aussi le distribue dans les temps ! Alors, même si vous avez fait un virement bancaire, que vous avez payé par carte bleue ou que vous avez adressé un chèque, vous pouvez compter sur toute l’équipe du Vaad Harabanim qui emprunte une somme conséquente pour garantir que les Matanot Laevionim arrivent à destination en temps et en heure.
Donner à qui ?
S’il y a bien un point où le Vaad Harabanim est méticuleux, c’est à qui donner. Il faut s’assurer que les personnes peuvent être bénéficiaires.Et pour cela, il faut être stratégique. Le Vaad étudie chaque dossier. Grâce à cela, il est apte à faire les bons choix.
La discrétion avant tout
On livre les dons sous forme d’enveloppes discrètes. Pas de publicité, juste une enveloppe qui arrive à la porte, et hop, le tour est joué. C’est comme de l’espionnage humanitaire, mais en bien.
La fête où tout est possible
Si vous cherchez la perfection dans la Tsedaka, vous frappez à la bonne adresse. Rav Elyachiv et Rav Kanievsky en personne ont inspiré et validé l’action du Vaad Harabanim. Et jusqu’à aujourd’hui, les Guedolim tels que Rav Landau, Rav Elbaze et l’Admour de Ra’hmastrivka conseillent de donner par l’intermédiaire du Vaad Harabanim et lui adresse leurs propres dons. Vous ne pouvez donc pas faire mieux. En plus, vous savez quoi ? Les sponsors extérieurs couvrent les frais de gestion. Ça veut dire que 100 % de votre don va directement aux nécessiteux. Un vrai miracle de modernité et de générosité !
Quelle somme consacrer aux plus défavorisés ?
La générosité, c’est bien, mais combien donner exactement ? D’après Rav Elyachiv, pour accomplir la Mitsva des Matanot Laevionim de façon parfaite, chaque personne doit faire un don d’au moins 50 chékels (environ 13 euros) à deux nécessiteux différents. C’est le minimum ! Oui, vous avez bien lu, il faut bien doubler votre effort et donner à deux personnes différentes, ce qui fait un total de 100 chékels (environ 26 euros). Mais, bien sûr, pour ceux qui veulent aller au-delà de l’obligation minimale, rien n’empêche de faire preuve d’une plus grande générosité! Vous pouvez faire un don encore plus important, tout en sachant que chaque chèque, chaque pièce, chaque euro fait une vraie différence pour ceux qui en ont besoin.
14 ou 15 Adar ? Le dilemme géographique
Alors là, vous ne pouvez pas échapper à la règle géographique. Jérusalem, avec ses belles rues pavées et ses citadelles anciennes, vous dit que c’est le 15 Adar, car c’est une ville entourée de murailles. Mais, si vous habitez à Paris ou Tel Aviv, attention, vous devrez donner vos dons dès le 14 Adar ! Le Vaad Harabanim s’adapte, et distribue selon votre ville. Merci la flexibilité !