Naama et Arié, Judith et Nathan, Audélia et Simon. Des jeunes couples aujourd’hui comblés, qui construisent ensemble des foyers heureux. Comme beaucoup d’autres, ils ont fait appel au Vaad Harabanim afin de permettre leur rencontre. Car s’il est aussi difficile d’ouvrir la mer Rouge que de trouver l’âme sœur, il existe des solutions, aussi miraculeuses que le prodige du 7e jour de Pessa’h…
Le 7e jour de Pessa’h commémore l’ouverture de la mer Rouge grâce à laquelle nous fûmes sauvés des Egyptiens. Certaines communautés veillent toute la nuit et se remémorent, à minuit, le début de l’ouverture de la mer qui commença par un vent salvateur. Après toutes les épreuves de la sortie d’Egypte, nous étions enfin libres. Nous avions brisé les chaînes du doute et du désespoir pour nous engager, confiants, sur le chemin de la foi. C’est le même processus qui préside à l’union entre un homme et une femme. Que de doutes et de conjectures, que d’efforts et de tensions avant de rencontrer l’âme sœur et d’atteindre le jour du mariage ! Tous les couples peuvent témoigner que le chemin est parsemé d’embûches, même si à la fin, le dénouement est aussi heureux que l’ouverture de la mer.
Enfin réunis !
Nos Sages expliquent qu’il est aussi difficile de rencontrer l’âme sœur que d’ouvrir la mer Rouge. Il faut une aide divine particulière, que l’on peut justement obtenir le 7e jour de Pessa’h. En ce jour de délivrance, une force extraordinaire est insufflée sur le monde, comme au jour de la libération de l’esclavage. Trouver le conjoint idéal relève du prodige et seule la Providence divine peut réaliser le miracle d’unir deux êtres. Durant les secondes fêtes de Pessa’h, tout est possible et les barrières tombent comme les eaux qui se fendent. Le défi est relevé grâce à la prière et la tsedaka. Ces armes sont plus fortes que les cavaliers de l’incertitude, que les soldats du désespoir. Elles nous permettent de franchir le pas, de nous élancer dans la mer du mariage en voguant sur les vagues du bonheur. Le 7e jour de Pessa’h, les envoyés du Vaad Harabanim sont à Amouka, durant Yom tov, afin de prier pour tous ceux qui cherchent l’âme sœur. Malgré la difficulté de cette prière durant Yom tov, le Vaad n’a pas reculé et se rend sur le site le plus approprié pour une telle tefila. A Amouka, dans cette vallée profonde qui abrite le tombeau de Rabbi Yonathan Ben Ouziel, les requêtes montent directement dans le ciel, grâce à la segoula transmise de génération en génération. Et cette année encore, ils seront présents pour vous, afin de prier pour votre partenaire pour la vie.
Un Roch Yechiva comblé
Rav N. dirige une grande Yechiva à Jérusalem. Aussi attentif que prévenant, il se soucie de ses élèves comme de ses fils. Avant les vacances de Pessa’h l’année dernière, il dressa une liste des élèves qui souhaitaient se marier. Il fit un don au Vaad Harabanim en demandant de prier durant quarante jours pour cinq de ses élèves. Il adressa un virement permanent au Vaad Harabanim et transmit le premier nom de la liste aux envoyés d’Amouka qui allaient prier pour chacun des élèves durant quarante jours. Deux semaines après Pessa’h, une première proposition fut au premier élève. Naftali rencontra la jeune fille qui allait devenir la femme de sa vie et quelque temps après, les fiançailles furent célébrés. Comment décrire l’allégresse des familles et des nouveaux fiancés ? Il restait encore quatre noms dans la liste d’Amouka. Les élèves prièrent de tout leur cœur avec les délégués du Vaad. Or, dans la période entre Pessa’h et Soukoth, ces quatre autres élèves connurent le même bonheur ! La lettre de témoignage du Rav N. figure en bonne place au Vaad Harabanim, au milieu de centaines d’autres. Le 7e jour de Pessa’h a irradié sa bénédiction et la mer s’est fendue, pour réunir les âmes sœurs…
Bénéficiez également de cette opportunité, en communiquant vos noms pour la prière d’Amouka.