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Amouka 2020 : Le bonheur est près de nous

8/4/5780 29.03.2020

Parfois, il suffit de se jeter à l’eau pour trouver le bonheur ! C’est ce qu’on fait les jeunes (et moins jeunes) qui souhaitaient trouver l’âme sœur, en participant à la prière de la vallée d’Amouka, où repose le Tana Rabbi Yonathan Ben Ouziel. Sa sépulture est un endroit privilégié pour que le Ciel nous fasse rencontrer la bonne personne…

Le 7e jour de Pessa’h, qui commémore le passage de la Mer Rouge, de nombreux Juifs se retrouvent à Amouka pour prier afin de trouver son « Zivoug Agoun », la personne de ses rêves. Parmi eux, les représentants du Vaad Harabanim menés par un homme juste et pieux, Rav Binyamin.

« Je t’envoie le faire-part ! »

Rav Binyamin est un érudit qui consacre sa vie à l’étude et à la prière. C’est donc tout naturellement qu’il a accepté de participer à la Tefila pour tous ceux qui cherchent l’âme sœur sur la tombe de Rabbi Yonathan Ben Ouziel. En ce 7e jour de Pessa’h, il se rendit en fin d’après midi sur le site alors que le soleil se couchait. Michaël, un homme d’une trentaine d’années, s’approcha de lui en voyant qu’il tenait les listes du Vaad dans sa main. Il voulut immédiatement se joindre à cette Tefila, ayant remarqué la concentration et l’humilité de Rav Binyamin. Après avoir brièvement discuté, celui-ci comprit que Michaël avait rencontré de nombreuses jeunes filles, malheureusement sans résultat. L’histoire de Michaël avait touché Rav Binyamin au cœur et il lui demanda son nom sans attendre. « Que Michaël ben Tsipora Léa puisse fonder un foyer par le mérite du tsadik Rabbi Yonathan Ben Ouziel et par le mérite de sa tsedaka au Vaad Harabanim ».

Quelques mois plus tard, le téléphone de Rav Binyamin sonna. Il ne reconnut pas le numéro affiché sur l’écran et fut surpris d’entendre la voix de Michaël.

  • Alors ? demanda t-il, pressé d’entendre la réponse.
  • Je suis fiancé ! répondit Michaël, tout aussi pressé de lui donner la bonne nouvelle. D’ailleurs, je t’envoie le faire part dès qu’il est prêt. Pourrais-tu prier aussi pour mon frère ? Il a besoin de toi et du Vaad Harabanim !

Chaque année, de nombreux témoignages parviennent au Vaad Harabanim et racontent une expérience similaire à celle de Michaël.  Emouvant et plein d’espoir, ils convergent vers le Vaad comme autant de pierre à l’édifice de la emouna.

« L’année dernière, j’ai donné pour la tefila du septième jour de Pessah et cette année, veille de Pessah’, je me suis fiancé. »

« J’ai donné 250 chékels pour me fiancer et je me marie le mois prochain ! »

 « Deux semaines après les quarante jours à Amouka, je me suis fiancé. »

« J’ai donné et la segoula a fonctionné ! Je me suis marié… »

 « J’ai donné afin de pouvoir me fiancer jusqu’à Roch ‘Hodech et cela s’est réalisé. »

« J’ai adressé un don pour la prière au kever de Rabbi Yonathan Ben Ouziel à Amouka et j’ai été exaucé ! »

« J’avais un proche parent assez âgé qui ne trouvait pas à se marier et j’ai vu un prospectus qui racontait toutes les belles histoires de mariage par le mérite de la Tefila à Amouka. J’avais de l’argent à donner à la tsedaka et j’ai fait ce don pour cette personne afin que son nom soit cité durant la prière sur la tombe de Rabbi Yonathan.

J’ai prié également afin qu’il se marie. Je tremble en racontant que moins d’un mois plus tard, ce parent s’est fiancé avec une personne parfaite pour lui. Je remercie le Vaad Harabanim d’avoir été un si bon intermédiaire ! »

Hachem nous montre qui est le véritable instigateur des rencontres et des mariages. Pour mériter de trouver l’âme sœur, il faut un vrai miracle. C’est pourquoi le Vaad Harabanim organise la prière sur la tombe de Rabbi Yonathan Ben Ouziel, qui est l’endroit propice à cette Segoula, comme ce Sage l’a enseigné. Participez et transmettez-nous très bientôt vos bonnes nouvelles !