Amouka, Pessa’h 5774 - Une prière profonde, comme une vallée - Vaad harabanim : Vaad harabanim Amouka, Pessa’h 5774 - Une prière profonde, comme une vallée - Vaad harabanim

Amouka, Pessa’h 5774 – Une prière profonde, comme une vallée

7/29/5774 31.03.2014

Amouka est une vallée de Galilée, entre Safed et Méron. Magnifique et vertigineuse, elle abrite la tombe de Yonathan ben Ouziel, qui fut un immense érudit, de l’époque des Tanaïm. C’est dans ce site merveilleux que tous ceux qui cherchent l’âme sœur se rendent pour prier. Avec une inspiration profonde…

40 jours après Pessa’h, des lettres affluent au Vaad Harabanim. Ou plutôt, une avalanche de lettres, venant des quatre coins du pays. Or, de très nombreux appels téléphoniques viennent régulièrement interrompre la lecture de ces lettres. Quel est l’origine de cet émoi ? La découverte de l’âme sœur grâce à la prière à Amouka ! Les mots sont tous différents mais pourtant si semblables : « J’ai trouvé mon zivoug ! », « Je vais me marier ! », « J’ai enfin rencontré l’homme de ma vie ! » C’est parfois la kala qui écrit, parfois le ‘hatan. Et souvent, ce sont les deux qui ont participé à la prière d’Amouka et qui tiennent à remercier les organisateurs du Vaad Harabanim.

 

 

Comme par enchantement

 

 

Les Sages comparent le mariage à l’ouverture de la mer Rouge. Comme si D.ieu devait déployer autant de miracles que durant la sortie d’Égypte afin d’unir deux âmes. D’après les témoignages, le proverbe est vrai ! Les rencontres sont souvent infructueuses, les tentatives nombreuses et les efforts innombrables… Mais lorsqu’on connaît la force de la prière, tout semble se résoudre comme par enchantement. Le 7e jour après la sortie d’Égypte, alors que les dix plaies avaient permis d’ouvrir les portes du pays d’esclavage, une autre barrière s’ouvre devant les Bné Israël grâce aux prières, celles de la mer. Hachem intervient pour sauver ses enfants. Ce jour devient alors pour l’éternité un jour où Dieu ouvre les portes du Ciel et écoute ceux qui en ont besoin. C’est pour cela que ce jour-là, tous ceux qui veulent traverser la mer pour trouver leur conjoint voient leurs prières exaucées. Un phénomène unique se déroule alors et tout devient simple : le célibataire endurci rencontre sa promise. La jeune fille difficile n’oppose plus de résistance. On dit « oui » et la vie va changer. Les cœurs s’unissent et la joie est parfaite. C’est le miracle de la mer Rouge où les destins sont scellés par la magie de la prière. Des couples se forment, déjouant la fatalité du célibat ! C’est pourquoi le Vaad Harabanim propose chaque année à tous ceux qui recherchent l’âme sœur de participer à sa prière spéciale de quarante jours d’affilée, à partir du septième et dernier jour de Pessa’h. Les envoyés de l’Association connaissent la joie des retrouvailles des futurs fiancés, et prononcent chaque nom avec enthousiasme. Comme Na’hchon ben Aminadav, ils se jettent à l’eau, avec l’espoir chevillé au corps. Au Vaad Harabanim, tous les Juifs sont liés par une alliance indéfectible, celle de la prière et du miracle !

 

Associez-vous à cet événement durant quarante jours exceptionnels…