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Ce Pourim, je veux donner de manière parfaite !

7/2/5772 25.02.2012

Chaque année, les Grands Sages de la génération adressent leur matanot laevionim au Vaad Harabanim. Ils ont confiance dans l’Association et encouragent le public à donner aux plus nécessiteux par son intermédiaire. Rétrospective sur les exigences chères aux Rabbanim et à tous ceux qui veulent accomplir la mitsva avec hidour…

 

La confiance des Grands

Je choisis le Vaad Harabanim qui est la koupa des grands Sages de la génération. Les Guedolé Hador font confiance au Vaad : l’Association a un souci permanent de transparence et a fait ses preuves depuis sa création, il y a 20 ans. Elle est reconnue dans le monde entier comme la plus grande koupa de tsedaka. (Voir l’entretien avec Rav ‘Haim Kanievsky Chlita).

 

100 % tsedaka

Le don que j’adresse est 100 % tsedaka. Le Vaad Harabanim a pour règle de reverser tout l’argent récolté. Les bénévoles, aux quatre coins du pays, agissent avec dévouement et persévérance. Les publicités sont financées par des sponsors qui ont compris qu’il était important de faire connaître l’action du Vaad afin d’aider le maximum de personnes.

 

Le jour même, en temps et en heure

Mon don est distribué le jour de Pourim. Les 14 et 15 Adar sont les deux dates où nous célèbront Pourim. Le Vaad Harabanim tient à respecter la coutume qui veut que les dons des habitants des villes sans murailles soient versés le 14 et ceux des villes avec murailles le 15.

Une innovation cette année : une infrastructure spéciale a été créée pour les Français qui ont fait un don le jour de Pourim en fin d’après midi. Leur don sera distribué chez des personnes qui ont célébré la fête le 14 même si le don leur parviendra le 15.

Cette préoccupation révèle le sens de l’excellence de l’Association, au service du public, quelque soit la difficulté du défi.

 

Un don en espèces

Il est prescrit d’offrir matanot laevionim à deux pauvres le jour de Pourim. Le don est apporté en espèces et directement à tous ceux et toutes celles qui en ont besoin. Des délégués se rendent personnellement chez les familles en détresse pour leur remettre une enveloppe salutaire.

 

Dans l’anonymat

Il existe plusieurs niveaux de tsedaka. Le plus haut d’entre eux consiste à laisser les deux protagonistes du don dans l’anonymat. C’est ce qu’a toujours réalisé le Vaad Harabanim. Ainsi, personne ne ressent de gêne, c’est la « tsedaka beseter ».

 

Une somme conséquente

La somme octroyée à chaque famille en difficulté par le Vaad Harabanim est conséquente. En m’associant à des milliers de donateurs, je soutiens chaque personne selon ses besoins. Au Vaad, l’accent est mis sur la dimension humaine.

 

Des cas difficiles

Mon don est utilisé à bon escient. Les familles nombreuses, les chômeurs, les érudits dans le besoin ou les personnes âgées sans ressources peuvent compter sur la main tendue par les milliers de donateurs à travers le monde. Leurs dossiers ont été étudiés par les Rabbanim et validés lors de réunions au sommet. (Voir l’action détaillée d’unr journée au standard du Vaad Harabanim).

 

 

 

De plus, cette année encore, malgré le printemps arabe et la situation difficile dans de nombreux pays musulmans, le Vaad Harabanim a de nouveau réalisé l’impossible : organiser pour vous une prière spéciale sur le site de Hamadan, en Iran. En effet, le jour de Pourim, 14 Adar, se réunira un minyan sur les kvaroth de Morde’haï et Esther. (cliquez ici pour plus de renseignements).

 

 

Cette année, je donne 100 % tsedaka, en temps et en heure, en espèces, avec l’approbation des Grands Sages de la génération, dans l’anonymat, de façon conséquente, et je soutiens des cas difficiles. Grâce au Vaad Harabanim, je donne de façon parfaite. Je transmet mes Matanot Laevyonim par l’intermediaire du Vaad Harabanim, en cliquant ici.