Tous les ans, à l’approche de Roch Hachana, durant le mois d’eloul, le son du chofar résonne pour nous rappeler le jour du jugement. Qui ne craint ces jours redoutables ? Le destin de nos vies va être scellé, le destin d’une année entière : qui vivra, qui aura une bonne santé, qui réussira… Hachem, dans son immense amour envers nous, nous a révélé un secret : à l’approche de Roch Hachana, nous devons nous éveiller, prier et donner la tsedaka. Ainsi, Il nous inscrira dans le livre de la vie…
C’est bientôt la nouvelle année. Nous nous préparons et nous tremblons. Nous espérons et nous prions. Qui sera inscrit dans le livre de la vie ? Les donateurs du Vaad Harabanim savent qu’ils ont un avocat d’exception qui intercédera en leur faveur lors du grand procès. Grâce à une tsedaka distribuée avec probité, destinée aux nécessiteux d’Erets Israël, ils auront accompli la mitsva de façon parfaite. Chaque chékel est attribué scrupuleusement par l’Association : les donateurs donnent avec le cœur et peuvent compter sur le Vaad Harabanim pour que leur geste soit reproduit dans le même esprit. Les Grands Sages de la génération veillent à apporter un soutien personnalisé et chaleureux à chaque famille dans le besoin.
D’année en année, conscients de l’importance de la mitsva de tsedaka et du mérite qu’elle apporte, ils prient personnellement et dans l’intimité pour les donateurs. Ils pleurent afin que l’on ouvre pour eux le livre de la vie, afin que les pages du bonheur et de la réussite soient remplies de leurs noms.
Cette année, un événement exceptionnel se prépare : les grands de la génération ont décidé de se réunir et d’unir leur force, de créer un miniane quelques heures avant le début de la fête. Ils prieront au Kotel, dans le lieu le plus saint du judaïsme, à l’endroit que la présence divine n’a jamais quitté. Et là, devant le Créateur, pour la première fois, ces géants spirituels imploreront et supplieront ensemble en unissant leurs forces.
« Techouva, tefila ou tsedaka maavirim eth roa hagzera » : le repentir, la prière et la tsedaka annulent les mauvais décrets. En se repentant, en donnant la tsedaka de la meilleure façon possible et en s’associant aux prières des tsadikim de notre temps, nous pouvons espérer que nos prières soient acceptées.
Et ainsi, les moments difficiles, les épreuves et les maladies, les expériences douloureuses et les déceptions seront effacés. Et dans les pages blanches et lumineuses seront réunis les joies et les réjouissances, les félicités et les prospérités, afin que l’année soit sanctifiée et dédiée au service divin.
Que nous soyons tous inscrits dans le livre de la vie, de la joie, de la santé, de la réussite, pour le succès de l’éducation de nos enfants et de la parnassa tova, amen.
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