Prier pour avoir des enfants est essentiel, comme nos matriarches l’ont prouvé. Ces prières, accompagnées de la tsedaka, peuvent accomplir des prodiges. Un Rav d’une stature spirituelle hors du commun confia aux couples en détresse une segoula : suivons Rav Haïm Palaggi sur le chemin de la délivrance.
Hanna souhaitait mettre au monde un enfant depuis plusieurs années. Ses prières étaient ferventes, et ses espoirs solides. Pourtant, la route semblait longue et parfois, elle ne voyait plus le bout du tunnel. Dans ces moments de doute, elle adressait un plaidoyer vibrant au Créateur. « Je me confie à Toi, Eternel, et Te fait part de mes difficultés. Durant toutes ces années, j’ai prié, j’ai pleuré, j’ai espéré. Mais les forces me manquent et j’ai peur d’abandonner car je me sens abandonnée. Ne m’oublies pas, et envoies-moi l’objet de mes rêves. » Un jour, alors que toutes les tentatives avaient échoué, elle entendit parler de la segoula de Rav Haïm Palaggi. Ce grand Rav vécut au 19e siècle et fut reconnu pour l’étendue de son érudition. Plus particulièrement célèbre pour la segoula qu’il légua, il permit à des milliers de couples de recevoir le plus précieux des cadeaux. Enthousiasmée, Hanna en parla à son mari et le jour-même, ils effectuèrent la segoula :
« La veille de Chavouot, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). Donnez cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous serez gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »
La tsedaka est l’une des étapes de la rédemption. Grâce à elle, nous accumulons des mérites et notre empathie envers ceux qui souffrent précipitent le processus. Hanna et son mari accueillirent neuf mois plus tard l’enfant tant attendu et écrivirent une lettre émouvante au Vaad Harabanim. Le petit Chmouel est un enfant magnifique, qui comble de bonheur ses parents.
Pour accomplir la Segoula de Rav Haim Palagi, cliquez ici.