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La clef des cieux

13/19/5769 08.09.2009

Donner, même une somme modeste, est un acte d’une valeur inestimable. Des milliers d’hommes et de femmes ont fait le geste, depuis la création du Vaad Harabanim et ont témoigné que la tsedaka recèle un pouvoir hors du commun. Car réunis, les dons ont le pouvoir de sauver des vies, de guérir des enfants, de sustenter des familles entières, de protéger les veuves et les orphelins. C’est ce qu’Hachem attend de nous et c’est pour cela qu’Il nous aide en retour.

 

Aujourd’hui dans le monde, un phénomène extraordinaire a vu le jour : depuis 1992, le Vaad Harabanim donne la possibilité à chaque Juif de participer à une grande chaîne de solidarité. C’est une véritable révolution dans tous les foyers : par un simple coup de téléphone, il est possible de réaliser des prodiges et de bénéficier, en retour, de grands miracles. Comment ? Nos Sages nous enseignent que l’union entre les hommes est une valeur suprême prônée par D.ieu. Et si nous nous unissons pour faire le bien et permettre aux personnes dans le besoin, aux enfants qui souffrent et aux cœurs brisés d’être à nouveau heureux, nous réalisons le projet divin. En effet, la Thora explique que « le pilier du monde est le ‘hessed ». C’est pourquoi, en donnant la tsedaka au Vaad Harabanim (association recommandée par tous les Guedolim pour son sérieux et l’ampleur de son action), nous pouvons accéder à la miséricorde divine. Et nous donner des mérites suffisants pour être nous-mêmes sauvés des dangers qui nous menacent et secourus lors de situations délicates.

Quelle est la clef que nous devons détenir pour ouvrir les cieux ?

Pour que l’union soit complète, elle doit être réalisée avec le cœur. En effet, donner de tout son cœur, en se souciant de l’autre, est la clef capable de transformer les décisions divines. En nous donnant le mérite de la tsedaka et de la prière, nous changeons notre personnalité et nous devenons « autres ». Cet autre nous-mêmes peut dès lors accéder à la miséricorde divine. Car nous avons été touchés par ceux qui souffrent et notre humanité nous a permis d’accomplir la mitsva pleinement.

 

Une prière, un espoir

 

Ce sont des milliers de lettres qui parviennent chaque année au Vaad Harabanim et qui témoignent des délivrances personnelles vécues par les donateurs généreux : un bébé est sauvé d’une mort certaine, une femme accouche sans difficulté, un homme retrouve ses clefs perdus dans les dunes d’Ein Guedi. Leur point commun : avoir prié et dédié une somme à la tsedaka. Hachem se charge du reste… Ces lettres sont parfois émouvantes, souvent étonnantes, toujours édifiantes : elles nous donnent l’espoir d’un monde meilleur dans lequel chaque Juif se soucie de son prochain. Les Grands Sages de la génération ont expressément demandé au Vaad Harabanim de rendre public les témoignages prodigieux reçus à l’Association. A travers un recueil publié aujourd’hui en France et distribué gratuitement, nous découvrons la force de la tsedaka et la solidarité juive.

 

« Une prière, un espoir, Histoires vraies reçues au Vaad Harabanim », 304 pages, publié grâce à la participation active de Rav David Weinberger de New York. Pour le recevoir gratuitement (port payé), téléphonez au 0 800 106 135.