« Les enfants d’Israël entrèrent au milieu de la mer à sec, et les eaux se formaient comme une muraille à leur droite et à leur gauche. » Comme nos ancêtres, nous devons parfois nous lancer dans l’inconnu. Alors que nous recherchons l’âme sœur, il faut avancer confiant, avant que la mer ne se referme et prier de tout notre cœur…
Le 7e et dernier jour de Pessa’h est consacré à la célébration de la traversée de la Mer Rouge. Cet événement unique dans l’Histoire de l’humanité allait à jamais enraciner en nous la confiance profonde et unique que nous accordons à D.ieu. Nous avons été témoin d’un miracle d’une amplitude inégalée. Alors que nous sommes poursuivis par la plus puissante armée du monde, nous sommes pris en étau par la mer infranchissable. Moïse étend sa main et les eaux se fendent, engloutissant, après le passage du peuple juif, les fiers cavaliers de Pharaon. Trouver l’âme sœur est considéré comme une véritable traversée de la Mer. Il faut se lancer et s’en remettre à la Providence. Pour réussir, il suffit de demander, d’implorer, de se joindre à une prière puissante. C’est pourquoi le Vaad Harabanim organise durant le 7e jour de Pessa’h, une tefila spéciale à Amouka, sur la tombe de Rabbi Yonathan Ben Ouziel. « Avant de rencontrer Emmanuel, je me sentais comme les Hébreux devant la mer, confie Esther. C’était l’inconnu et j’avais attendu tellement de temps que j’étais pétrifiée par la peur. » Esther a trouvé l’homme idéal. Mais elle a prié longtemps avant de le rencontrer. « Un jour, alors que j’étais particulièrement pessimiste, raconte t-elle, une amie me conseilla de participer à la prière à Amouka du Vaad Harabanim. J’étais assez sceptique mais en lisant les témoignages de tous ceux qui avaient trouvé l’âme sœur, je me suis laissé tenter. Et voilà, trois mois après, je suis fiancée ! Il faut juste y croire, comme nos ancêtres devant la mer ! »
Vous avez dit miracle ?
Les Sages enseignent que rencontrer celui ou celle qui partagera notre vie relève du miracle. Lorsque tout espoir semble perdu, le Tout-Puissant peut changer le cours de la nature pour nous. La prière à Amouka du Vaad Harabanim connaît un succès considérable et de nombreux témoignages parviennent régulièrement à l’Association pour raconter les rencontres improbables (et réussies) et les unions durables contractées grâce à l’implication de la tsedaka dans le processus prodigieux du mariage. Car l’empathie est le secret de l’aide divine : lorsque nous pensons à l’autre, Hachem pense à nous. C’est ainsi que le 7e jour de Pessa’h, jour le plus propice de l’année pour prier afin de trouver l’âme sœur, est également un jour important pour la tsedaka.
Les eaux peuvent se fendre pour nous aussi. A tout moment, même lorsque tout semble compromis.
Alors cliquez ici et envoyez votre nom ou le nom de votre proche.