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Quand les Sages frappent à notre porte, la lumière de Hanouka brille pour 4 175 familles

3/20/5786 10.12.2025

À l’approche de Hanouka, les Sages de la génération appellent chacun d’entre nous à se lever pour sauver 4 175 familles du désespoir. Derrière leurs demandes de soutien, il y a des visages, des larmes, des prières. Et une promesse : celle d’une bénédiction éternelle pour quiconque tend la main.

4 175 familles se tiennent devant nous. Des milliers d’enfants et de parents tendent les mains et prononcent, en implorant : « Sauvez-nous ! » Dans chaque foyer qui frappe à la porte du Vaad Harabanim, il y a une détresse qui dépasse la simple pauvreté. Il y a la peur, la honte, la maladie, la solitude, et parfois l’ombre de la mort. Les familles soutenues par le Vaad Harabanim, et par vous, les donateurs, demandent seulement de quoi survivre. Les Grands de la génération — Maran Rav Dov Landau chelita, Maran Rav Moché Hillel Hirsch chelita, Maran Rav Avraham Salim chelita et l’Admour de Ra’hmistrivka chelita appellent chacun de nous à répondre à l’appel, pour redonner du courage et de l’espoir à ces familles en détresse.

Un fleuve de larmes et d’espérance

Car pour les familles du Vaad Harabanim, chaque don est une bouée d’espoir. Grâce à notre participation, à notre générosité, il y aura enfin de quoi subventionner des soins trop chers pour sauver un enfant. Pour soutenir une orpheline qui n’a rien pour se marier. Ou pour aider une mère, dépassée par la dépression de son mari, et qui la laisse seule aux commandes du foyer. Beaucoup d’entre nous connaissent la difficulté de boucler le mois. Mais ces familles vivent l’urgence vitale. Elles ne se battent pas pour le confort, mais pour la vie même. Au Vaad Harabanim, chaque jour apporte son lot de souffrances. Des personnes âgées qui sombrent dans la misère et la solitude. Des enfants malades qui espèrent recevoir les soins nécessaires. Des familles brisées par le deuil, dont les enfants démunis ont besoin de soutien psychologique. Ou encore un adolescent paralysé qui a besoin d’un lit médicalisé. Le Vaad Harabanim reçoit chaque jour des dizaines de nouvelles demandes. Celles de ces 4 175 familles sont les plus extrêmes, les plus urgentes, les plus vitales.

  

En donnant, on reçoit la bénédiction des Sages

Les Sages lancent un appel qui résonne dans tous les foyers : « Mi l’Hachem elaï » « Qui est pour Hachem, qu’il vienne à moi ! ». Ils nous demandent de nous joindre à eux, de devenir les partenaires de Hachem.

Maran Rav Dov Landau chelita bénit : « Que l’Éternel envoie bénédiction et réussite à tous les donateurs, qu’ils soient comblés de bonheur, de longévité et de joie dans toutes leurs entreprises. »

Maran Rav Moché Hillel Hirsch chelita ajoute : « Que tous les donateurs du Vaad Harabanim soient protégés de toute maladie, de tout malheur, qu’ils connaissent une large subsistance, qu’ils voient la réussite de leurs enfants dans la Thora, le mariage et les bonnes actions. »

Maran Rav Avraham Salim chelita ajoute avec compassion : « Heureux ceux qui soutiennent le Vaad Harabanim ! Que D.ieu leur accorde la réussite dans toutes leurs œuvres, et qu’Il exauce tous leurs souhaits pour le bien. »

Et l’Admour de Ra’hmistrivka chelita conclut :
« Plus de 4 000 familles ont besoin d’aide. Que tous ceux qui participent à cette œuvre soient bénis de santé, de subsistance, de joie et de longues années. »

Ces bénédictions sont le reflet d’un lien sacré entre le donateur et celui qui reçoit, entre la prière et la Tsedaka. Nos Sages expriment leur gratitude et leur amour pour les donateurs du Vaad Harabanim car ils savent que donner n’est pas un geste anodin : c’est allumer une flamme de vie dans un monde parfois noyé de froid et de silence. Car en vérité, la Tsedaka n’est pas seulement un acte de charité. C’est la transmission de notre ADN spirituel. Tout comme la transmission des Rabbanim n’a jamais disparu, la chaîne de la générosité juive ne s’est jamais rompue. Chaque génération bénit la suivante en lui enseignant à donner, à prier, à aimer. Nos ancêtres ont allumé la lumière dans le Temple. Nous, nous l’allumons dans les foyers brisés, dans les cœurs blessés. Et cette lumière-là ne s’éteindra jamais.

Une lumière qui ne s’éteint pas

À Hanouka, chaque flamme compte. Chaque mèche qu’on allume repousse un peu plus l’obscurité. Et chaque acte de générosité éclaire bien au-delà de ce que nos yeux peuvent voir. Les 4 175 familles du Vaad Harabanim savent qu’en ce jour où la lumière triomphe de la nuit, le peuple d’Israël se souviendra qu’il est un seul corps, une seule âme, un seul cœur. Parce qu’en sauvant un être, on sauve un monde. Parce qu’en donnant, on reçoit infiniment plus. Le Vaad Harabanim nous invite à nous associer à cette immense prière de bénédiction. Participons à l’œuvre du Vaad, éclairons les foyers des 4 175 familles, et laissons la lumière de notre don illuminer notre maison. Car celui qui donne la lumière — devient lumière lui-même.

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