Rav Kaniewsky et l’Admour de Viznits, deux dirigeants du Peuple Juif, poursuivent un seul et même objectif : le rétablissement des malades et l’aide à leur apporter. Ils ont été particulièrement touchés par la situation très difficile de certains d’entre eux. Rav Haïm a écrit une lettre dans laquelle il bénit les donateurs du Vaad Harabanim et explique que lorsqu’on soutient les malades, on est préservé des maladies. Rav Haïm et l’Admour de Viznits ont lancé un appel d’urgence à toutes les personnes de bonne volonté afin de sauver 243 personnes malades et de venir en aide à leur famille. Au Vaad Harabanim, des milliers de malades sont secourus tout au long de l’année. Parmi ces cas, des centaines de personnes sont en situation très précaires.
Dans les services des hôpitaux, des scènes brisent le cœur. Que ce soit dans les services d’oncologie, de cardiologie, de psychiatrie, de réanimation, de chirurgie cardiaque, des patients attendent une réponse à leurs prières. Des familles sont brisées, des enfants désorientés, mais l’espoir persiste grâce à la générosité juive.
Rav Haïm Kaniewsky et l’Admour de Viznits veulent sensibiliser le public aux situations les plus extrêmes. Pour certains patients en grand danger, chaque minute est une menace. « C’est une question de vie ou de mort » écrit Rav Haïm.
Il faut agir maintenant, sans attendre, en redoublant nos efforts, par des dons plus conséquents.
Les problèmes médicaux qui dépassent l’imagination ne sont malheureusement pas rares. Dans la tempête déchainée provoquée par la maladie, des familles luttent pour leur survie, sur des embarcations fragiles.
Rav Binyamin Finkel, Roch Yechiva de Mir, est impliqué dans l’œuvre du Vaad Harabanim. Il se tient devant les Guedolim et leur décrit le quotidien des familles dont la maladie a transformé la vie en enfer.
Des choses qui étaient essentielles deviennent secondaires face au défi lancé par la maladie. Comment des parents peuvent-ils concilier leur travail avec la présence à l’hôpital ? Ils sont souvent obligés de réduire leurs horaires de travail, ce qui provoque une diminution de leur salaire.
Les enfants qui sont à la maison sont délaissés et passent d’un foyer à un autre. Ils se sentent abandonnés et souffrent cruellement de l’absence de leurs parents.
243 familles ont besoin de notre aide, de façon urgente. Grâce au soutien du Vaad Harabanim, elles ont réussi à survivre mais elles ont aujourd’hui besoin de plus.