Sauvons Jonathan - Vaad harabanim : Vaad harabanim Sauvons Jonathan - Vaad harabanim

Sauvons Jonathan

12/15/5770 26.07.2010

Jonathan était fin prêt. Entouré de sa famille, il marchait vers la ‘houpa. Ses parents, ses proches, ses amis, tous versaient des larmes de joie pour célébrer l’un des plus beaux jours de leur existence. Jonathan était si princier dans son costume de mariage. Si ému et si heureux. Il souriait à tous, attentionné et attentif. Pour sa mère, qu’il suivait tendrement du regard, il avait su trouver les mots de reconnaissance, pour tout ce qu’elle avait fait pour lui jusqu’à ce jour. Pour tous les sacrifices et pour tous les efforts, pour tout ce qu’une mère aimante est capable de faire afin que son enfant chéri soit heureux.

A son père, il avait exprimé tout son amour, lui qui lui avait permis de devenir un homme. C’était le jour de son mariage, la joie et l’allégresse emportaient les cœurs. L’avenir était si beau, si plein de promesses. Jonathan imaginait de beaux enfants, ses enfants, qu’il mènerait un jour sous la ‘houpa. Il se voyait étudier et grandir dans la Thora. Il s’imaginait entouré de ses proches, et c’est avec un sourire confiant que le photographe saisit son visage et le fixa sur le papier.

 

Quelques mois après le mariage, Jonathan se réveilla un matin avec d’importantes douleurs dans le dos. Sa jeune épouse, inquiète, lui demanda de se rendre au plus vite chez un médecin. Ce qu’il fit. Ce médecin, réputé, ne fut pas très rassurant : il fallait faire des examens complémentaires. En voyant le visage de l’infirmière, quand elle ouvrit la prescription pour la prise de sang, Jonathan comprit que quelque chose de grave se précisait. Et quelques jours plus tard, ce fut le choc. La vie de Jonathan, de sa femme, de ses parents, bascula totalement. En 24 heures, leur vie changea du tout au tout. Ils ne voulaient pas y croire… Une maladie si grave, si soudaine, qui ravage le corps d’un si jeune homme ?

Une maladie mortelle. Cela signifiait t-il que tout était fini ? La vie de Jonathan, un homme dans la fleur de l’âge, était-elle terminée ? Tous les espoirs s’évanouirent. Jonathan et sa famille commencèrent la lutte pour la vie. Les chimiothérapies furent extrêmement pénibles et douloureuses. Les effets secondaires terribles. Jonathan était prêt à tout supporter, sans se plaindre, pourvu qu’il guérisse. Les spécialistes décidèrent qu’il fallait opérer. Sinon, c’était la fin.

 

Cette opération est complexe mais aussi et surtout coûteuse. Les parents de Jonathan essayent d’assumer une partie de la somme. Mais ils ne sont pas en mesure de couvrir la totalité des frais nécessaires à l’hospitalisation et à la quadruple opération prévue aux États-Unis.

Quant au jeune couple, il n’a pas de quoi participer à la réunion des fonds nécessaires : 120 000 euros. Il ne peut que pleurer, prier et tenter de garder espoir.

Peut-on renoncer à une vie à cause d’un manque d’argent ?

Jonathan continue de croire en la vie. Dès qu’il le peut, dès qu’il réussit à réunir quelques forces, il retourne à l’étude et se bat pour tenter de mener une existence normale. Mais le temps presse et le jour avance. La date fatidique arrive. Laisserons-nous Jonathan face à son terrible destin ? Où allons-nous nous unir et former une muraille de tsedaka capable de stopper la maladie ? Nous pouvons être un maillon de cette chaîne et aider Jonathan à sortir du gouffre.

 

Rav Ron Chaya connaît très bien le père de Jonathan, Rav B., qui est son plus proche collaborateur. Il appelle aujourd’hui tous ceux qui peuvent participer à cette grande mitsva et à se joindre au fonds « Jonathan ». Parce qu’unis, nous pouvons réellement sauver Jonathan. Nous devons nous mobiliser car toute participation est fondamentale. Pour lui, chaque don est vital. Nous devons aider Jonathan.

 

Parce que le désir de vie est plus fort que tout. Parce que l’amour est plus fort que la mort.

 

Appelez dès aujourd’hui le 0 800 106 135 ou cliquez ici. (précisez que votre don est pour le fond numero 9101)

 

HASKAMOT DES RABBANIM :

 

La lettre de soutien du Gaon Rav Y. C. Elyachiv Chlita et du Gaon Rav C. Auerbach Chlita :

« … C’est pour cela que je vous demande de soutenir cet important Avre’h, et que par le merite de cette grande Mitsvah vous puissiez mériter d’avoir une bonne sante et la réussite dans tout ce que vous entreprenez. »

 

Hagaon Rav Ovadia Yossef Chlita:

« … Je me tourne vers les êtres généreux de notre peuple ; il y a une très grande mitsva de sauver sa vie et […] tous ceux qui l’aideront mériteront beaucoup d’abondance et de bénédictions, une santé inébranlable, longévité, richesse, bonheur et honneurs, ils seront rassasiés de joie, de réussite et de bien. Et à leur propos se réalisera le verset : Toutes les maladies que j’ai abattues sur l’Egypte ne te toucheront pas car Je suis D. Ton guérisseur. »

 

Rav Joseph ‘Haïm Sitruk Chlita :

« C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai appris le drame qui le touche […] je vous encourage à lui apporter votre soutien et toute l’aide possible… »

 

Rav Ron Chaya Chlita :

« Je connais personnellement Jonathan et ses parents. Son père est comme un frère pour moi. Depuis que la maladie a touché son fils, j’assiste à un drame de tous les instants. La souffrance de ce jeune homme est indescriptible et j’appelle nos frères à lui venir en aide afin qu’il puisse être sauvé. Or, l’opération qu’il doit subir est très coûteuse. Chacun d’entre nous doit participer et prier de toutes ses forces.