Ne pas avoir d’enfant durant de longues années est une épreuve très difficile pour de nombreux couples. Le doute, l’angoisse, la déception, sont autant de sentiments partagés par tous ceux qui ont été confrontés à cette attente. Cependant, chaque année, une Segoula redonne confiance à des dizaines de parents, comblés par la naissance d’un enfant après avoir suivi les instructions de Rav Palaggi. Suivons le guide afin de célébrer la vie, par le mérite de nos Sages.
Il est des témoignages poignants qui ne laissent pas indifférents. Batia a trente ans et elle est mariée depuis plusieurs années. Aucune ombre au tableau, si ce n’est une épreuve inattendue qui gâche son bonheur au quotidien. « Lorsque je me suis mariée, se confie t-elle, je ne pensais pas que je devrais me mesurer à une telle difficulté. Au début, j’ai supporté de voir que mes amies commençaient à construire leur famille, puis avaient la chance d’avoir plusieurs enfants. Mais avec le temps, je me sentais de plus en plus déprimée. Je ne comprenais pas pourquoi les autres avaient cette joie et pas moi. J’avais l’impression de ne pas être méritante et j’ai commencé à culpabiliser. »
À la souffrance de ne pas être comme les autres, s’ajoute la peine de ne pouvoir donner la vie. « J’avais l’impression d’être comme Ra’hel Imenou qui s’écria : « Donne-moi des enfants, sinon je suis morte ! » Malgré le soutien indéfectible de mes proches et de mon mari, je sentais que mes forces me quittaient. Ne pas avoir de postérité était une grande épreuve car je ne savais pas si j’aurais un jour ce mérite. »
Des traitements, des souffrances et puis… la délivrance
Batia, par pudeur, reste très évasive sur les traitements qu’elle a subis. Et sur les déceptions à répétition qui ont rythmé le chemin. Pourtant, elle ne baisse pas les bras, et continue à y croire. Malgré les embûches, elle s’accroche et ne perd pas espoir. « Il est certain que parfois, on a tendance à désespérer car chaque fois, c’est l’échec. Mais il faut rester ferme dans sa Emouna, malgré les difficultés, qu’elles soient médicales ou psychologiques. » Un jour, elle entend parler, par une amie, de l’existence de la Segoula de Rav Haim Palaggi. « Ma première réaction a été inattendue, décrit-elle, car j’ai ri. Je crois que je me suis dit que les Segoulot ne marchent que pour les autres ! Mais en étudiant de plus près le sujet, j’ai compris que je pouvais y croire aussi pour moi. Car il n’y a rien de magique dans ce que préconise Rav Haïm Palaggi : il indique simplement la voie de la tradition que nos ancêtres ont toujours suivie. Nous avons scrupuleusement accompli les instructions du Rav et un peu plus d’un an plus tard, j’ai donné naissance à notre premier enfant ! »
La Segoula de Rav Haïm Palaggi :
« La veille de Chavouot, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « Ben »). Donnez cette somme à la Tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous serez gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »