Segoula de Rav Haïm Palaggi : Un cœur qui commence à battre - Vaad harabanim : Vaad harabanim Segoula de Rav Haïm Palaggi : Un cœur qui commence à battre - Vaad harabanim

Segoula de Rav Haïm Palaggi : Un cœur qui commence à battre

9/23/5772 15.05.2012

De trop nombreuses personnes souffrent de ne pas avoir encore d’enfant. La segoula de Rav Haïm Palaggi a permis, comme l’explique cette histoire émouvante, de faire battre les cœurs… de tous les protagonistes de l’aventure.

 

Il y a trois mois, les fidèles de la synagogue de la petite ville de N. ont été ébahis de découvrir une petite carte colorée annonçant la naissance d’un petit garçon chez la famille Cohen. Celle-ci remerciait Hachem pour son immense bonté, ainsi que tous les membres de la communauté, et donnait la date et l’heure de la circoncision.

 

Ariel Cohen est un cadre supérieur d’environ trente-cinq ans. Il a réussi professionnellement et forme un couple heureux avec sa femme Yaël. Tous deux rêvaient de pouvoir tenir sur leurs genoux un enfant. Cela faisait déjà douze ans qu’ils nourrissaient des espoirs sans cesse déçus. Chez eux, il n’y avait pas de rires d’enfant et la maison était toujours impeccable. Presque trop. Tout était resté parfaitement en état depuis l’époque du mariage. Depuis douze ans déjà, le même vase en cristal trônait sur la table et Ariel et Yaël n’avaient rien à craindre : aucune petite main ne viendrait l’en déloger et le casser.

Le chabbath, lorsqu’Ariel se rendait à la synagogue, il apportait toujours des sucreries pour les enfants, en priant de pouvoir un jour gâter les siens.

Autour de lui, sa famille, ses amis et ses connaissances ne posaient plus de question et continuaient à prier pour lui et Yaël. Il est vrai qu’ils avaient tout essayé : ils avaient récité perek chira durant quarante jours, ainsi que nichmath kol ‘haï et avaient tenté de nombreuses ségouloth. Mais malheureusement, ils restaient désespérément seuls à la maison.

 

À l’occasion de la bar mitsva du premier enfant de sa plus jeune sœur, tous les frères et sœurs ainsi que les cousins décidèrent de s’unir :

– Nous devons faire quelque chose, expliqua Chira. Connaissez-vous la segoula de Rav Haïm Palaggi ? Réunissons chacun 104 chékels et donnons-les à des érudits dans le besoin.

52 membres de la famille donnèrent cette somme au Vaad Harabanim. Le don fut transmis et les cœurs commencèrent à battre. Un an plus tard, la petite annonce fut déposée à la synagogue.

Chacun d’entre nous connaît quelqu’un qui n’a pas encore d’enfant. Nous le rencontrons le matin dans la rue où le soir à un cours. Nous prions avec lui durant chabbath ou les jours de fête.

Nous sommes accompagnés de nos enfants mais il est seul, priant avec ferveur. Que faire pour lui ?

Aujourd’hui, vous pouvez agir. Comme la famille Cohen, vous disposez d’une segoula d’une force inouïe. Et vous pouvez faire preuve de votre amour pour votre prochain en suivant scrupuleusement les indications de Rav Palaggi.

 

Rav Haïm Palaggi enseigne : « La veille de Chavouoth, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). En donnant cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous mériterez d’être gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »

 

Pour y prendre part, cliquez ici.