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Toute guérison est un miracle

9/21/5778 06.05.2018

Durant 49 jours, nous comptons impatiemment jusqu’à Chavouot et le don de la Thora. Ce jour-là, les malades furent guéris miraculeusement. Aujourd’hui encore, nous pouvons prier pour vaincre les maux qui nous atteignent et profiter de la bénédiction spéciale prononcée par nos Sages durant l’office.

S’il y avait eu un hôpital itinérant dans le désert au moment de la sortie d’Egypte, il se serait vidé d’un seul coup durant le 6 Sivan. Le don de la Thora permit à tous les malades du peuple juif d’être guéris. Les handicaps disparurent, les enfants et les vieillards furent libérés de leurs maux, les affections de toutes sortes s’évanouirent. Aujourd’hui, nous disposons d’hôpitaux, de soins et de médicaments. Et pourtant, l’aide divine est indispensable pour qu’ils fassent leur effet. Toute guérison est un miracle et nous pouvons compter sur l’aide divine pour bénéficier de ce miracle. Rav Elyachiv, le grand décisionnaire, a laissé une indication précieuse pour profiter de cette aide : demander la miséricorde divine juste avant la lecture de la Thora durant l’office de Chavouot permet d’ouvrir les portes des Cieux et d’éveiller Raphaël, l’ange guérisseur. C’est pourquoi nos Sages prononceront un « Mi chebera’h » particulier pour tous les malades du peuple juif. Rav Haïm Kanievsky à Bné Brak et Rav Yaakov Hillel à Jérusalem ainsi que tous les Guedolé Hador, feront retentir cette bénédiction. Et c’est à nous de participer à cette demande en saisissant l’opportunité de faire le bien autour de nous. Grâce à nos dons en ce jour si puissant de Chavouot, nous possédons la clef des Cieux. Pensons à nos proches à l’hôpital, à nos enfants qui ont besoin d’une opération, à nos aïeux qui souffrent. C’est un moment unique, un moment où la volonté divine s’éveille pour nous sauver et nous guérir.

La tsedaka sauve de la mort

Cet adage est fondamental. La Tsedaka est un refuge qui préserve des maladies, des souffrances, des angoisses et des tensions. La Tsedaka renverse les décrets et inverse le désespoir en espérance, la peine en joie. Comment évaluer le nombre de personnes soulagées grâce à la Tsedaka reversée au Vaad Harabanim ? De nombreuses lettres arrivent au bureau central, venant de toutes les couches de la population. Des Juifs de tous les horizons témoignent de leur expérience et de leur rédemption personnelle et demandent à être publiés. En voici un extrait.

 

Une guérison improbable

Méir finit un appel téléphonique et semblait très anxieux.

  • Que se passe t-il ? demande Ne’hama, constatant son air inquiet.

Méir venait de raccrocher avec son père et prit sa tête dans les mains avant de commencer à faire les cent pas dans la pièce. Il semblait bouleversé.

  • Ma mère a une tumeur au cerveau…

Ne’hami fut prise de stupeur.

  • Que dis-tu ? Une tumeur au cerveau ?

Paniquée, elle posa de nombreuses questions.

  • Elle va faire une chimiothérapie ? Comment se sent-elle ?

Méir ne répondait pas, totalement choqué. Après un long silence, il promit à sa femme de donner de la tsedaka au Vaad Harabanim afin que la tumeur disparaisse. « Que D.ieu nous épargne et la guérisse ! »

Ne’hami approuva en disant : « La tsedaka sauve de la mort ! »

Méir transmit son don au Vaad Harabanim. Sa mère fut opérée et commença des séances de radiothérapie. Après un mois, la tumeur avait disparu, et elle dut passer une longue période de convalescence avant d’être en rémission totale.

Si vous voulez envoyer votre nom ou le nom de vos proches pour cete prière spéciale, cliquez ici.