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Une segoula qui a fait ses preuves

9/21/5771 25.05.2011

Chaque année, quelques mois après Chaouoth, de nombreuses lettres de remerciement affluent au bureau du Vaad Harabanim. Qui sont les auteurs de ces témoignages de reconnaissance ? Des parents comblés, qui ont accompli la segoula de Rav ‘Haïm Palagi, un grand Sage de la Thora ayant vécu au 19e siècle en Turquie. Ses recommandations, simples et précises, permettent de grands prodiges. Mais laissons plutôt parler l’un des témoins

 

« Cela fait dix ans que nous étions mariés sans avoir été gratifiés par la naissance d’un enfant. Personnellement, je n’ai jamais cru aux segouloth. Mais un jour, ma cousine m’a dit : « tu n’as rien à perdre, essaye ! ». Il est vrai que donner de la tsedaka est toujours positif. Quand on donne, on est toujours gagnant. C’est pourquoi j’ai fait la segoula et aujourd’hui, je suis l’heureuse mère d’une adorable petite fille. »

 

Cette lettre est l’une des centaines que le Vaad Harabanim a reçues. Toutes relatent l’expérience extraordinaire (au sens propre du mot) de ceux qui ont bénéficié de la segoula de Rav Palagi.

 

La segoula

Rav Haïm Palagi a dit : « La veille de Chavouoth, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). Donnez cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous serez gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »

Cette segoula, enseignée par Rav Palagi, a permis à de nombreux Juifs d’avoir une descendance. Grâce à la tsedaka, des parents peuvent accéder au bonheur suprême de donner vie à une nechama et d’atteindre ainsi la pérennité.

 

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