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M. Y de Achkélon : Une vie sauvée de justesse

Au vaad harabanim

Je vous envoie ce fax avec des mains tremblantes, en sortant de la salle des urgences. Il y a quelques heures, j’ai été sauvé d’un terrible accident.

 

J’attendais le bus, et celui qui est arrivé était bondé. J’avais à peine mis le pied sur la marche pour entrer, que le chauffeur a fermé la porte sans me voir, et je n’ai pas pu retirer ma jambe ! J’ai été traîné, avec un pied pris dans la porte et l’autre par terre.

 

J’ai crié aussi fort que j’ai pu, et d’autres passagers ont commencé à hurler. Le chauffeur a pilé net, et mon corps s’est plié en avant, à un centimètre de la roue ! Le conducteur a alors ouvert la porte et je me suis effondré sur le sol dans la rue, incapable d’un mouvement.

 

A cet instant, ne sachant même pas ce qui était en train de se passer, je me suis dit : « Ribono chel Olam ! Je donne régulièrement au Vaad Harabanim. Cela devrait m’aider à me sortir de cette terrible situation. Je donnerai encore 180 chékels si je m’en tire. »

 

Je viens d’appeler de la salle des urgences et j’ai utilisé ma carte de crédit pour faire un don. J’envoie maintenant un fax, que vous puissiez demander aux Guedolei HaDor, chlita, qu’ils prient pour ma complète guérison.

 

Je suis d’accord pour que vous publiez cette histoire, afin que d’autres découvrent les merveilles du Vaad Harabanim.

 

Tout le meilleur,

Y.N. – Achkelon »